THEY DESTROY THE HOUSES OF THE PEOPLE, THEY FREE THE BONGOS, BUT THE PROBLEM IN GABON IS THE DIASPORA! ILS CASSENT LES MAISONS DES POPULATIONS, ILS LIBÈRENT LES BONGO, MAIS LE PROBLÈME AU GABON C’EST LA DIASPORA!

 

 

 

English version

 

As C’BON continues to take bad decisions that are harmful to the people, many in the Gabonese diaspora are raising their voice and denouncing these acts. As a result, C’BON zealous supporters are increasingly spuing an anti diaspora rhetoric, aimed at discrediting all those who are critical of C’BON’s methods.

 

C’BON and his team fear their diaspora because it represents a significant threat to their regime's stability and control. The diasporas, especially those in democratic countries, have access to free information and media. They can publicize abuses, human rights violations, and the true state of affairs in Gabon, which C’BON’s regimes actively seek to repress and censor. They provide an alternative to the regime's monopoly on information, challenging the official narrative and exposing the truth to both the international community and people within Gabon.

 

Gabonese exiled dissidents and activists can continue their work for democracy and human rights from abroad. They can organize, raise awareness, lobby foreign governments, and even provide material support to opposition movements within Gabon. Their voices are incredibly impactful, and this is what C’BON fears.

 

The very existence of a politically active Gabonese diaspora inherently challenges the legitimacy of C’BON's rule. Their presence in democratic nations serves as a constant reminder of the repression and lack of freedom in Gabon.

 

The Gabonese diaspora, operating outside C’BON's direct physical control, is a potent force for exposing the regime's weaknesses, undermining its propaganda, and rallying support for change. This poses a significant threat to C’BON's hold on power, which is built on control and the suppression of dissent.

 

 

 

 

 

Version française

 

Alors que C'BON continue de prendre de mauvaises décisions préjudiciables au peuple, de nombreux membres de la diaspora gabonaise élèvent la voix et dénoncent ces actes. En conséquence, les partisans zélés de C'BON expriment de plus en plus une rhétorique anti-diaspora, visant à discréditer tous ceux qui critiquent les méthodes de C'BON.

 

C'BON et son équipe craignent leur diaspora car elle représente une menace significative pour la stabilité et le contrôle de leur régime. Les diasporas, en particulier celles qui résident dans des pays démocratiques, ont accès à l'information et aux médias libres. Elles peuvent rendre publics les abus, les violations des droits humains et la véritable situation au Gabon, que le régime de C'BON cherche activement à réprimer et à censurer. Elles offrent une alternative au monopole de l'information du régime, remettant en question le discours officiel et exposant la vérité à la fois à la communauté internationale et à la population gabonaise.

 

Les dissidents et activistes gabonais exilés peuvent poursuivre leur travail en faveur de la démocratie et des droits humains depuis l'étranger. Ils peuvent s'organiser, sensibiliser, faire pression sur les gouvernements étrangers et même fournir un soutien matériel aux mouvements d'opposition au Gabon. Leurs voix ont un impact considérable, et c'est ce que C'BON craint.

 

L'existence même d'une diaspora gabonaise politiquement active remet intrinsèquement en question la légitimité du pouvoir de C'BON. Leur présence dans les nations démocratiques sert de rappel constant de la répression et du manque de liberté au Gabon.

 

La diaspora gabonaise, opérant en dehors du contrôle physique direct de C'BON, est une force puissante pour exposer les faiblesses du régime, saper sa propagande et rallier le soutien au changement. Cela représente une menace significative pour la mainmise de C'BON sur le pouvoir, qui est fondée sur le contrôle et la suppression de la dissidence.