THE LADY OF HEART, SYLVIA BONGO, DOES "CHARITY" WITH GABONESE TAXPAYER MONEY. LA DAME DE CŒUR, SYLVIA BONGO, FAIT DE LA "CHARITÉ" AVEC L'ARGENT DU CONTRIBUABLE GABONAIS
The lady of heart, Sylvia Bongo, among her « passion », little kids
La dame de Cœur, Sylvia Bongo, en compagnie de sa « passion », les enfants
(Image: Djabioh)
A gift to the gabonese people paid for with their own money but presented as Sylvia Bongo’s generous gift
Un don aux populations gabonaises, payé avec leur propre argent mais présenté comme une généreuse offrande de Sylvia Bongo
English version
What is a Charitable Organizations?
It is a nonprofit organization sometimes referred to as a charity or a foundation, which can be run publicly or privately. Some charities or foundations may be centered around religious, educational or other public interest activities that are philanthropic in nature. Most charitable organizations operate as private foundations that obtain their principal funding through corporations, families, individuals or other financial sources that does not include public funding. Private foundations usually use endowment funds to provide grants to affiliated organizations that support the foundation objectives. These kinds of charitable organizations are exemplified by the Bill and Melinda Gates Foundation or the Rockefeller Foundation.
There are also public foundations which are run by governments to provide services that are of crucial nature to the betterment of human kind. An example of such charitable organization is PEPFAR (President's Emergency Plan for AIDS Relief), created by George Bush to fund the fight against Aids in Africa. Through this foundation, the US government used $19 billion to purchase anti-retroviral drugs and send them to Africa.
But dear readers, in Gabon, the Bongos have invented a new form of charity: a private charity that uses Gabonese taxpayer’s money as a public relation vehicle for Ali Bongo’s wife: “The Sylvia Bongo Foundation”. On that foundation’s website, there is no mention on how that foundation is funded; however the Sylvia Bongo Foundation is a private organization that does not depend from the Gabonese ministry of Social Affairs and as such, it is a private foundation that should be financed through private donations. The problem is that official document of the 2013 Gabonese budget tell us that the Sylvia Bongo foundation has received financing to the tune of $2 million or 1 billion CFA francs directly from the national treasury. This funding by the Gabonese government tells us that Sylvia Bongo is providing charity with taxpayer’s money. In other words, if the Gabonese population is the taxpayer, how can Sylvia Bongo be performing an act of charity if she gives to this population items she purchased with their money?
Dear readers, you understand that all the noise about the supposed philanthropy of Sylvia Bongo is a humanitarian illusion. The Bongo couple having perceived all the advantages it could get out of having their image being pegged as humanitarians, set up bogus private foundations, but whose funding came from one source familiar to the Bongos, the coffers of Gabon. Sylvia Bongo would show a zeal to propagate the image of the lady of heart who cares about all the trendy philanthropic causes: AIDS, children etc. Nothing was too fancy for the foundation anyway because it was the Gabonese state that paid the bills.
It is too easy to pretend to be charitable when it is done with the people's money. Give charity with other people's money. This blog will go even further by saying that Sylvia Bongo is doing a manipulation if not a scam, by usurping an ostentatious benefactor outlook with the Gabonese people’s money, while the real owners of that money remain in the anonymity of silent suffering. Molière, in the seventeenth century, already denounced in Tartuffe, this kind of deception, of spreading acts of penance and charity with other people's money. Sylvia Bongo just like Tartuffe, is not fooling anyone!
So goes the Sylvia Bongo Foundation
Version française
Qu'est-ce qu'un organisme de bienfaisance?
Il s'agit d'un organisme à but non lucratif, appelé organisme de bienfaisance ou une fondation, qui peut être public ou privé. Certains organismes de bienfaisance ou fondations peuvent être centrés autour de structures religieuses, éducatives ou d'autres activités d'intérêt public de nature philanthropique. La plupart des organismes de bienfaisance fonctionnent en fondations privées qui obtiennent leur financement des sociétés, des familles, des particuliers ou autres sources, mais qui ne reçoivent pas de financement public. Les fondations privées utilisent généralement des fonds de dotation par le truchement desquels ils accordent des subventions à des organismes affiliés qui appuient les objectifs de la fondation. Ces types d'organismes de bienfaisance sont illustrés par la Fondation Bill et Melinda Gates ou la Fondation Rockefeller.
Il y a aussi des fondations publiques qui sont gérées par les gouvernements pour fournir des services qui sont de nature cruciale à l'amélioration de certaines conditions. Un exemple d'organisme de bienfaisance d’Etat est le PEPFAR (Plan d'urgence du président pour lutter contre le sida), créé par George Bush pour financer la lutte contre le sida en Afrique. Grâce à cette fondation, le gouvernement américain a octroyé 19 milliards de dollars pour l'achat de médicaments antirétroviraux et les envoyer en Afrique.
Mais chers lecteurs, au Gabon, les Bongos ont inventé une nouvelle forme de charité: la charité privée qui utilise l'argent du contribuable gabonais comme véhicule de relation publique pour l'épouse d'Ali Bongo: "La Fondation Sylvia Bongo". Sur le site de cette fondation, il n'est fait aucune mention de la façon dont cette fondation est financée, mais la Fondation Sylvia Bongo est un organisme privé qui ne dépend pas du ministère gabonais des Affaires sociales et en tant que tel, elle fait office de fondation privée qui devrait être financé par des dons privés. Le problème est que la loi des finances 2013 du Gabon, nous indique que la fondation Sylvia Bongo a obtenu un financement à hauteur de 2 millions de dollars ou 1 milliard de francs CFA, directement de la trésorerie nationale. Ce financement par le gouvernement gabonais nous permet de nous rendre compte que Sylvia Bongo fait de sa charité avec l'argent du contribuable. En d'autres termes, si la population gabonaise est le contribuable, comment Sylvia Bongo peut-elle accomplir un acte de charité en donnant à cette population des articles achetés avec argent du peuple?
Chers lecteurs, vous aurez compris que tout le bruit fait autour de la supposée philanthropie de Sylvia Bongo n’est qu’un leurre humanitaire. Le couple Bongo ayant perçu tout l’avantage qu’il pouvait tirer d’avoir leur image briquée au leurre d’actions humanitaires, mit sur pied des fondations privées bidons, mais dont les financements provenaient de la seule source financière que connaissent les Bongo, les caisses de l’Etat gabonais. Sylvia Bongo y mettra du zèle pour propager l’image de la dame de cœur qui sait se montrer soucieuse de toutes les causes philanthropiques à la mode: le sida, les enfants etc. Rien n’est trop beau pour la fondation, car de toute façon c’est l’état gabonais qui paye.
C’est bien trop facile de prétendre être charitable, quand on le fait avec l’argent du peuple. Faire la charité avec l’argent des autres. Ce blog ira même plus loin en affirmant que Sylvia Bongo se livre à une manipulation sinon a une escroquerie, en usurpant une apparence ostentatoire de bienfaitrice avec l’argent du peuple gabonais, tandis que les vrais propriétaires de cet argent eux, restent dans l’anonymat de la souffrance silencieuse. Molière, au XVIIe siècle, avait déjà dénoncé dans Tartuffe, ce genre d’imposture, consistant à étaler des actes de pénitence et de charité avec l’argent des autres. Sylvia Bongo comme Tartuffe, ne trompe personne!
Ainsi va la Fondation Sylvia Bongo
Comments
Post a Comment