YOUNG GABONESE NO LONGER HAVE EVEN THE RIGHT TO A CHILDHOOD! LES JEUNES GABONAIS N’ONT MÊME PLUS DROIT Á UNE ENFANCE!
Today, it is this family, whose turn will it be tomorrow?
Aujourd'hui c'est cette famille, à qui le tour demain?
(Photos Jocktane)
English version
A nation that kills its children has no future. Given what is going on in Gabon, this blog can declare that the future of the country is bleak indeed. Yes, dear readers, ritual murders continue to rob Gabonese children of their future and their childhood. Dear readers, the young child on this picture above was discovered on the beach near one of the largest high school in Gabon, Lycée Léon Mba. Both her eyes had been removed, a clear sign of ritual murder. These murders are exponentially increasing in Gabon and the most curious thing is that the security forces which are so prompt at attacking students and attendants at opposition rallies, have been proved totally incapable of preventing these ritual murders; causing many Gabonese citizens to come to the conclusion that inevitably, the same people claiming to ensure security in the country must be the same people behind the killings for their selfish political ambitions. In the meantime, it is Gabonese children who have to permanently fear for their lives and their parents who have to live with the phobia of having the life taken out of their young children with no chance of ever catching the perpetrators or even bringing them to justice.
This climate of fear and terror is causing Gabonese children to no longer have a normal childhood. As everybody knows, children should feel safe in a healthy society. They should be able to play football with their friends outside for hours, without their parents having to worry about any abduction; they should be able to go to the beach with their families without people snatching them away and going to cut them to pieces to remove human spare parts for somebody to use to gain some supposed powers. The potential of a random fatal act of ritual murder has increased to the point where it is forcing parents, wherever they live, to accept what should be unacceptable in any society; that their kids could be killed at any given moment. Children are innocent and should be protected from certain things; but in Gabon they are exposed and threatened to the real possibility of being abducted by killers and cut into pieces. If this fear terrorizes parents, who knows what kind of damage this awareness of unspeakable violence does to a child’s emotional development and academic schoolwork.
We can barely understand the pain an adult human being must endure during the moments their eyes are being poked out while they are alive by ritual killers. But how could we stomach the agony of this poor child at the hands of these killers? Who could be so evil, so heartless to do something so abominable? In Libreville in particular and Gabon in general, parents are now saying that they would stop at nothing to ensure the safety of their children from ritual killers. Kids are being advised to not go out at night; parents can no longer afford to be late even by a minute to pick up their children from school. The police states that they are working to maintain peace and security for the population, but these killers seem to operate at will and with absolute impunity. What kind of life is it to no longer be able to send your child to the neighborhood shop for fear that they may never come back? What kind of life is it to have to fear any person you come across while walking alone? What kind of childhood is it if children have to be indoors at all times for their safety?
Gabon has certainly taken a very dark and dangerous turn for the worst. There seems to be no salvation in sight for the country as everything is becoming worst and worst. No cosmetic changes repair such a damaged country, only a complete and deep change can have a chance to succeed. All these killings are carried out with instructions from people up the social and political ladder; everybody knows it. These are the same people who handle the police investigations and the court system. What chances are there that these crimes would ever be punished? In the meantime, the youths of Gabon no longer have childhood; if they dare to try to be children and act in a carefree manner, they will die the most horrible death.
So goes Bongos’ Gabon
Version française
Une nation qui tue ses enfants n'a pas d'avenir. Compte tenu de ce qui se passe au Gabon, ce blog peut déclarer que l'avenir du pays est sombre. Oui, chers lecteurs, les crimes rituels continuent à priver la jeunesse gabonaise de son avenir et de son enfance. Chers lecteurs, la jeune enfant sur cette photo ci-dessus a été découverte sur la plage près de l'un des plus grands lycées du Gabon, le Lycée Léon Mba. Les deux yeux lui ont été enlevés, un signe clair de crime rituel. Ces meurtres sont en augmentation exponentielle au Gabon et le plus curieux, c'est que les forces de sécurité qui sont si prompts à attaquer les étudiants ou les participants aux rassemblements de l'opposition, se révèlent totalement incapables d'empêcher ces crimes rituels, causant de nombreux citoyens gabonais à arriver à la conclusion qui, inévitablement, dit que les mêmes personnes qui prétendent assurer la sécurité dans le pays doivent être derrière ces meurtres pour les besoins de leurs ambitions politiques égoïstes. En attendant, ce sont les enfants gabonais qui doivent en permanence craindre pour leur vie et leurs parents qui doivent vivre avec la phobie d'avoir la vie de leurs jeunes enfants interrompue avec aucune chance d'arrestation des coupables, ou de leur traduction en justice.
Ce climat de peur et de terreur fait que les enfants gabonais ne puissent plus avoir une enfance normale. Comme chacun le sait, les enfants doivent se sentir en sécurité dans une société saine. Ils devraient être en mesure de jouer au football avec leurs amis à l'extérieur pendant des heures, sans que leurs parents aient à se soucier de tout enlèvement; ils devraient être en mesure d'aller à la plage avec leurs familles sans que des gens essaient de les kidnapper et les découper pour enlever des « pièces détachées » destinées à être utilisées pour des pouvoirs supposés. Le potentiel qu'un acte fatal aléatoire de crime rituel a augmenté au point où les parents sont désormais contraints, où qu'ils vivent au Gabon, d’accepter ce qui devrait être inacceptable dans toute société, que leurs enfants pouvaient être tués à tout moment donné. Les enfants sont innocents et doivent être protégés contre certaines choses, mais au Gabon ils sont exposés et menacés de la possibilité réelle d'être enlevés par des tueurs afin de prélever leurs organes. Si cette crainte terrorise les parents, qui sait quel genre de dommages cette prise de conscience d'une violence indescriptible fait au développement affectif des enfants et sur leurs rendements scolaires.
Nous pouvons à peine imaginer la douleur qu'un être humain adulte doit supporter pendant que ses yeux sont prélevés par ces tueurs rituels. Mais comment pourrions-nous digérer l'agonie de cette pauvre enfant entre les mains de ces tueurs? Qui serait assez diabolique, si cruelle au point de faire quelque chose de si abominable? A Libreville en particulier et au Gabon en général, les parents disent maintenant qu'ils ne reculeraient devant rien pour assurer la sécurité de leurs enfants face aux tueurs rituels. Les enfants sont interdits de sortir le soir, les parents ne peuvent plus se permettre d'être en retard, même par une minute, quand il faut aller chercher leurs enfants à l'école. La police dit qu'elle travaille au maintien de la paix et de la sécurité de la population, mais ces tueurs semblent agir à leur guise et en toute impunité. Quel genre de vie consiste à ne plus être en mesure d'envoyer votre enfant à la boutique du quartier, de peur qu'il ne revienne jamais? Quel genre de vie consiste à avoir peur de toute personne que vous rencontrez quand vous êtes seul dans la rue? Quel genre d'enfance consiste à maintenir les jeunes enfermés à l'intérieur des maisons en tout temps pour leur sécurité?
Le Gabon a certainement pris une trajectoire pour le pire, c’est à dire très sombre et dangereuse. Il ne semble y avoir point de salut en vue pour le pays car tout va de mal en pis. Aucun changement cosmétique ne pourrait réparer l’endommagement du pays; seul un changement complet et profond peut avoir une chance de réussir. Tous ces meurtres sont accomplis sur instructions de personnes dans les hautes sphères sociales et politiques, tout le monde le sait. Ce sont les mêmes personnes qui manipulent les enquêtes de la police et le système judiciaire. Quelles sont les chances que ces crimes soient jamais punis? Dans le même temps, les jeunes gabonais n'ont plus l'enfance; s'ils osent essayer de se comporter comme des enfants et agir de façon insouciante, ils vont mourir de la mort la plus horrible.
Ainsi va le Gabon des Bongo
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