THE ACCROMBESSI’S CASE AT THE CENTER OF FRANCO-GABONESE RELATIONS, ACCORDING TO LA LETTRE DU CONTINENT! L’AFFAIRE ACCROMBESSI AU CENTRE DES RELATIONS FRANCO-GABONAISES, SELON LA LETTRE DU CONTINENT!
English Version
La Lettre du Continent is of the opinion that the Franco-African relations are now obscured by the recent arrest in Paris of Maixent Accrombessi. This arrest would have caused hysteria at the Gabonese presidency and its consequences would likely significantly disturb the Paris-Libreville axis.
La Lettre du Continent says that despite the attempts by Ali Bongo to befriend the Elysée Palace, the climate between Libreville and Paris remains abysmal. After the publication and media coverage of the book by Pierre Pean; after the recent seizure of the Gabonese presidential Boeing; after the recent arrest of Accrombessi; Ali Bongo feels increasingly abandoned by Paris.
Regarding the Accrombessi affair, La Lettre du Continent also informs us that the French authorities are interested in the acquisition by Gabon via Accrombessi and Seydou Kane (who stays at the George V when he is in Paris), of a patroller called " La Tapageuse ", from the French company Piriou Naval Services. Again suspicions of colossal retro-commissions are hovering.
La Lettre du Continent says that at the time of his arrest in Paris, Maixent Accrombessi had no mission order. A backdated mission order was hurriedly drafted in Libreville and submitted to the French authorities so the diplomatic immunity mechanism could be invoked. Notably, it is Laurent Fabius, while on holiday in Toulouse, who intervened to ask for the relaxation of Maixent Accrombessi, on the supplication of Ali Bongo. It is Laurent Fabius’office that validated the false mission order issued to Accrombessi. When one considers that Laurent Fabius came to Libreville for the New York Forum Africa in the past; one can reasonably imagine that suitcases full of money have passed through there.
For La Lettre du Continent, it is also the Accrombessi case that prompted Ali Bongo to make the announcement of the giving of his inheritance shares to the Gabonese youth. Ali Bongo wanted especially to create a safeguard by making the Gabonese population forget the arrest of his chief of staff. These symbolic announces of transfer to the State of the residence of camp De Gaulle in Libreville and two mansions in Paris, are just a diversion. La Lettre du Continent considers that since the succession is still not settled, Ali Bongo was giving away units that do not exist in reality. For example, ownership of the two mansions in Paris remains claimed by Yacine Queenie and Omar Denis, the two children of Edith Lucie Sassou Nguesso.
Version française
La Lettre du Continent estime que les relations Franco-Africaines sont en ce moment plombées par la récente arrestation à Paris de Maixent Accrombessi. Cette interpellation aurait provoqué l’hystérie à la présidence gabonaise et ses conséquences seraient de nature à troubler considérablement l'axe Paris-Libreville.
La Lettre du Continent nous dit que malgré les tentatives d’Ali Bongo de s’ouvrir à l’Elysée, le climat entre Libreville et Paris demeure exécrable. Après la publication et la médiatisation du livre de Pierre Péan ; après la récente saisie du Boeing présidentiel Gabonais ; après la récente interpellation d’Accrombessi ; Ali Bongo se sent de plus en plus lâché par Paris.
Dans le dossier Accrombessi, La Lettre du Continent nous informe aussi du fait que les autorités françaises s’intéressent à l’acquisition par le Gabon, via Accrombessi et Seydou Kane (qui ne loge qu’au Georges V quand il est à Paris), d’un patrouilleur dénommé « La Tapageuse », auprès de l’entreprise française Piriou Naval Services. Là aussi des soupçons de colossales rétro-commissions planent.
La Lettre du Continent nous dit qu’au moment de son interpellation à Paris, Maixent Accrombessi ne disposait d’aucun ordre de mission. Un ordre de mission antidaté aurait été précipitamment rédigé à Libreville et soumis aux autorités françaises pour faire actionner le mécanisme de l’immunité diplomatique. C’est notamment Laurent Fabius, alors qu’il était en vacances à Toulouse, qui est intervenu pour demander la relaxation de Maixent Accrombessi, sur les prières d’Ali Bongo. Ce sont les services de Laurent Fabius qui ont validé le faux ordre de mission émis à Accrombessi. Quand on sait que Laurent Fabius est venu à Libreville pour le New York Forum Africa, par le passé ; on peut raisonnablement imaginer que des mallettes de billets sont passées par là.
Pour La Lettre du Continent, c’est aussi l’affaire Accrombessi qui a poussé Ali Bongo à faire l’annonce de session de ses parts d’héritage à la jeunesse gabonaise. Ali Bongo aurait surtout voulu créer un garde-fou visant à faire oublier à la population Gabonaise, l'interpellation de son directeur de cabinet. Les annonces symboliques du transfert à l'Etat de la résidence du camp De Gaulle de Libreville et de deux hôtels particuliers situés à Paris, ne sont que de la diversion. La Lettre du Continent estime que la succession n'étant toujours pas réglée, Ali Bongo a en fait cédé des parts qui n'existent pas encore dans la réalité. Par exemple, la propriété des deux hôtels particuliers de Paris reste revendiquée par Yacine Queenie et Omar-Denis, les deux enfants d’Edith Lucie Sassou Nguesso.
Comments
Post a Comment