IN GABONESE POLITICS, THE BONGO REGIME DESTROYED EQUAL OPPORTUNITY! EN POLITIQUE GABONAISE, LE RÉGIME BONGO A FAIT DISPARAITRE L’ÉGALITÉ DES CHANCES !

English version

Since 1967, if there is one thing that has been successfully done by the Bongo regime, it is to have been tirelessly the ruthless destroyer of excellence, of defiant and free intellectuals, of non-corruptible technocrats, and ultimately of merit in all its forms.

When you destroy excellence, you inevitably strengthen the influence and rooting of dictatorship. The result is that today in Gabon, many no longer even question the omnipresence of imposture at all levels:

- Who is still wondering about Mborantsuo's imposture at the Constitutional Court?

- Who is still wondering about the imposture of Mborantsuo's son at the budget ministry, without any competency in that field?

- Who is wondering about the presence of murky executives of the BGFI in the Gabonese financial departments, while these executives do not always have a glorious banking past?

- Who wonders about the presence of the Osseni sons in the upper echelons of the presidency, where they manage the finances of bodies as sensitive as the Gabonese sovereign fund, when they have no competency in the matter?

The result, dear readers, is that we see some rather strange reflexes appear in some Gabonese who, having noted the definite unavailability of Ali Bongo, rely in a Pavlovian manner, to other Bongos, Nourredin Bongo-Valentin and Junior Denis Bongo Ondimba; for the succession in 2023, if not before.

When all the mechanisms for highlighting merit have been destroyed, we should not be surprised to find ourselves with a class of intellectuals around the regime, who have only their diploma as sign of intellectualism, selling their services to the highest bidder. This is the reward for the tireless destruction of Gabonese school and education systems.

Nowadays, the Bongo regime does not need to burn books to show its disdain for intellectual pursuits; because it has long imprisoned and caged the knowledge of Gabonese intellectuals.

On this Father's Day, this blog reminds Gabonese men of their roles as defenders of the cardinal values of equity, justice and equal opportunities for our country and our children!

We will not give up!

Version française

Depuis 1967, s’il y a une chose qui a été réussie par le régime Bongo, c’est d’avoir été sans relâche le destructeur impitoyable l’excellence, des intellectuels insoumis et libres, des technocrates non corruptibles, et en définitive du mérite dans toutes ses formes.

Quand on détruit l’excellence, on renforce forcement le rayonnement et l’enracinement de la dictature. Le résultat est qu’aujourd’hui au Gabon, on ne s’interroge même plus sur l’omniprésence de l’imposture à tous les niveaux :

- Qui s’interroge encore sur l’imposture de Mborantsuo a la Cour Constitutionnelle ?

- Qui s’interroge encore sur l’imposture du fils de Mborantsuo au ministère du budget, sans aucune compétence dans le domaine ?

- Qui s’interroge sur la présence de cadres sulfureux de la BGFI dans les régies financières gabonaises, alors que ces cadres n’ont pas toujours un passé bancaire glorieux ?

- Qui s’interroge de la présence des fils Osseni dans les hautes sphères de la présidence, où ils gèrent les finances d’organes aussi sensibles que le fonds souverain Gabonais, alors qu’ils n’ont aucune compétence ?

La résultante, chers lecteurs, est que l’on voit apparaitre des réflexes assez étranges chez certains Gabonais qui, ayant constaté l’indisponibilité définitive d’Ali Bongo, s’en remettent de manière pavlovienne a d’autres Bongo, Nourredin Bongo-Valentin et Junior Denis Bongo Ondimba ; pour la succession en 2023, sinon avant.

Quand on a détruit tous les mécanismes de mise en avant du mérite, on ne doit pas s’étonner de nous retrouver avec une classe d’intellectuels autour du régime, qui n’ont d’intellectuels que leur diplôme, vendant leurs services au plus offrant. C’est cela la récompense de l’infatigable destruction de l’école et l’éducation Gabonaise.

De nos jours, le régime Bongo n’a pas besoins de brûler les livres pour marquer son dédain des efforts intellectuels ; car il y a longtemps qu’il a emprisonné et asservi le savoir des intellectuels Gabonais.

En cette fête des pères, ce blog vient rappeler aux hommes Gabonais leurs rôles de défenseurs des valeurs cardinales d’équités, de justice et d’égalité des chances pour notre pays et nos enfants !

On ne lâche rien !